Chapitre 13: réglements de comptes sur le périph'

-Canon 6 pouces de 29 cm, bastos de 44, calibre pour la chasse au cerf à l'origine, ça tape bien le bras mais le mec d'en face n'a aucune chance, il sort d'usine, il a les yeux bleus, s'il vous intérésse c'est 3000€.
-Ok on le prend, on va a la chasse au gros gibier

Nous prîmes ce monstre puis partîmes.

7h00, mon réveil me tira de sommeil à coup de chants polyphoniques Corses, je me levai, aujourd'hui était un jpur important, ce jour la on allait casser une pate aux Feloni.

-Quest-ce que tu sais sur les 2 trafficants? Demandai-je à Luigi
-A l'epoque, ils proposaient les meilleures armes d'Europe de l'est, ce sont des Yougos, l'un à participé au génocide musulman, l'autre est son frere, ancien avocat, il a défendu les plus gros truands du monde, mais il à été rayé du barreau apres une affaire de corruption et proxenetisme. Ils étaient free lance, ils vendaient au plus offrant jusqu'a il y a environ un an, qunad ils sont résté avec les Feloni, aujourd'hui ils doivent discuter d'un importante cargaison qui arrivera dans une semaine, faites en sorte qu'ils ne se rencontrent jamais.

Je descendis dans la rue avec mon père, il y avait un Eliseo 125 noir avec un immatriculation illisible, ce n'etait pas tres rapide mais discret et mobile, il avait aussi une bonne acceleration, mon père avait un casque intégral noir, une parka égalemnt noire et un panatlon et des boots foncées, moi j'avais un bluon noir, un casque jet et une cagoule, j'avais un jean et des baskets noires.

Il accelera, je vérifia une derniere fois mon flingue, il falait qu'on réussisse, sinon la Famille était foutue.

Nous arrivâmes porte de clignancourt, leur véhicule était à 500 metres environ: une citroen AX grise, mon père s'approchat, il faisait froid, le jour venait à peine de se lever mais il n'y avait pas beaucoup de circulation à cette heure çi, nous passâmes sous un tunnel, nous n'etions qu'a une dizaine de metres.
-C'est maintenant ou jamais fils! Cria mon père
Les chants polyphoniques Corses résonnaient dans ma tête, mon père se mit à la hauteur des 2 seigneurs de guerre, celui au volant avait une tête de dur, l'autre était plus frele, je pouvais parfaitement les voirs.

Je plongeai ma main sou mon blouson et pris le flingue, il était lourd, presque 2 kilos, je le sorti et braqua l'arme sur le chauffeur, mon canon était à à peine 1 metre de la vitre, le chauffeur tournat sa tête et pris des yeux exhorbités en voyant mon porte avions sous son nez, je tira avant même qu'il put réaliser quoi que ce soit, le bruit fut monstrueux, la vitre explosa en eclats, sa tête fut à moitié arrachée, le pare brise et l'autre homme étaient couverts de sang, je visa son frère qui hurlait et tira une seconde fois, la balle lui fit un trou béant dans le torax et du sang sorti de l'autre coté, arrosant la vitre coté passager, leur voiture dérivat et allat s'encastrer dans un mur, mon père accelerat, nous sortîmes du tunnel et prîme la porte des lilas, nous allions regagner le XIIeme arrondissement par Paris intra muros. Mission accomplie, les Feloni allaient la sentir passer...